Les lignes directrices suivantes sont pensées pour vous aider à exercer la maîtrise de soi dans les dépenses, devenir un meilleur intendant des ressources de Dieu, et de libérer des dépenses pour le royaume de Dieu:
1. Examinez chaque achat en tenant compte de son potentiel de ministère.
Nous devons évaluer la valeur de chaque article que nous achetons en pensant à ce à quoi le même montant pourrait servir s'il était utilisé d'une autre façon - par exemple, pour donner de la nourriture aux pauvres ou évangéliser. Je ne dis pas cela pour provoquer un sentiment de culpabilité, mais pour établir des faits : si l'argent est utilisé d'une certaine façon, il ne peut pas l'être d'une autre. Aucun de nous ne devrait imposer nos normes personnelles aux autres, ni à Dieu. Nous devons demander à Dieu de nous diriger quant à la gestion de Son argent.
2 . Priez avant de dépenser.
Lorsqu'il s'agit d’un besoin légitime, Dieu y pourvoira. Combien de fois nous prenons les choses en main et dépensons de façon impulsive avant de demander à Dieu de pourvoir à notre besoin ? Souvent, soit nous achetons ce qu'il nous manque, soit nous nous en privons, alors qu'il existe une troisième alternative : demander à Dieu de combler ce besoin. S'il n'y pourvoit pas, acceptons-le : il sait ce qu'il fait.
Définir une période d'attente donne à Dieu la possibilité de fournir ce que nous voulons, de fournir quelque chose de mieux, ou de nous montrer que nous n'en avons pas besoin et comment nous pouvons utiliser l'argent pour autre chose.
3 . Sachez qu'une "bonne affaire" n'en est pas une si vous ne pouvez vous la permettre financièrement.
Payer 250 000 € pour une maison qui en vaut 300 000 € semble être une bonne affaire. Payer 80 € pour une paire de skis à peine utilisés qui a coûté 400 € à l'achat semble être une bonne affaire. Mais si nous ne pouvons pas nous les payer, cela n'a plus d"importance. C'est toujours un mauvais choix que de dépenser de l'argent sur une «bonne affaire» que nous ne pouvons pas nous permettre.
4 . Reconnaissez que Dieu n'est pas derrière chaque bonne affaire.
Partons du principe que nous pouvons nous permettre cet achat. Est-ce que cela veut dire que nous devons sortir notre portefeuille? Souvent, faire preuve de maîtrise de soi signifie qu'on abandonne une "bonne affaire" sur des choses que l'on souhaite pourtant acquérir parce que Dieu a sans doute de meilleurs plans pour Son argent.
5 . Comprenez la différence entre dépenser de l'argent et l'épargner.
Epargner, c'est mettre de côté de l'argent pour un but futur; cet argent reste dans nos portefeuilles ou dans un compte en banque. Il peut être utilisé à d'autres fins, y compris pour nos besoins ou les besoins des autres. L'argent qui est dépensé n'est plus à notre disposition. Si nous achetons un pull à 80 € soldé à 30 €, nous dépensons 30 €. Si nous pensons que nous avons juste économisé 50 €, nous ne comprenons tout simplement pas le concept d'épargner!
6 . Regardez le coût à long terme, pas seulement la dépense à court terme.
Si quelque chose se casse, nous payons pour le faire réparer. Si nous achetons une nouvelle voiture, nous nous inquiétons de l'abîmer et donc souscrivons une assurance. Comptez les coûts à l'avance. Tout finit par être plus cher que ce que l'on pense.
7 . Comprenez la manipulation publicitaire et résistez-y.
La publicité est manipulatrice et séduisante. Elle nous programme. Nous devons consciemment rejeter ses prétentions et les contrer avec la Parole de Dieu, qui nous rappelle quels sont nos véritables besoins. Nous devrions éviter la publicité qui favorise l'avidité ou le mécontentement. Cela peut concrètement se traduire par moins regarder la télévision, moins feuilleter des catalogues de vente et des annonces dans les journaux, et arrêter d'errer sans but dans les centres commerciaux.
8. Apprenez à vous tenir à distance des choses que vous voulez, mais dont vous n'avez pas besoin.
Un jour j'ai reçu un chèque au montant important et inattendu. Après en avoir donné une partie au Seigneur, il me restait encore 2000 $. Très vite, je me suis retrouvé à chercher une chose que je désirais depuis longtemps, mais dont je n'avais jamais été en mesure de justifier l'achat. L'étiquette du prix indiquait 1,995 $. Mais dans mon cœur il n'y avait pas la paix quand je songeait à ce quoi cet argent pourrait servir pour le Royaume de Dieu. En fin de compte, je décidai de ne pas faire cet achat. Lorsque j'ai pris la décision de ne pas acquérir cet objet, quelque chose d'inattendu se produisit. Je fus soudain rempli d'un profond sentiment de soulagement et de joie. Être libre de ne pas avoir cet objet a été la première bénédiction; de connaître la différence éternelle que montant ferait a été la deuxième bénédiction.
9 . Sachez que les petits montants s'ajoutent.
Un euro par-ci, un euro par-là ; un hamburger, un café, une location de film et une sortie de golf : ces choses peuvent sembler sans conséquence, mais leurs prix s'accumulent pour finir en centaines d'euros par mois et milliers d'euros par an, qui pourraient être utilisés pour faire avancer le Royaume de Dieu. Jusqu'à ce que nous changions certaines de nos habitudes de dépenses, nous ne serons jamais en mesure de détourner le flux d'argent à des fins plus élevées.
10. Mettez en place un budget et tenez-vous y.
Deux mesures pratiques peuvent grandement nous aider à avoir un bon contrôle de nos dépenses: tenir un compte de nos dépenses et établir un budget. Ces étapes nous aideront à détecter les problèmes en clarifiant nos habitudes de dépenses. Cela permettra d'améliorer notre santé mentale et conjugale parce que le désordre financier est l'une des principales causes de stress personnel et familial.
Vivre en se tenant à un budget permettra de mettre beaucoup d'argent à disposition. Quand j'étais pasteur, j'ai rencontré des familles qui se tenaient à un budget et s'en sortaient convenablement avec des revenus modestes. J'ai aussi rencontré d'autres familles qui gagnaient beaucoup plus et étaient toujours en proie à des problèmes de finances.
Ce qui importe, ce n'est pas combien d'argent nous gagnons, mais comment nous le gérons. Et tout commence par reconnaître que cet argent n'est pas le nôtre. Il appartient à un autre, devant lequel nous nous tiendrons un jour, et les plus belles paroles que nous pourront entendre de sa bouche à ce moment-là seront : " C'est bien, bon et fidèle serviteur. Entre dans la joie de ton maître ".
Ten Practical Ways to Control Spending and Wisely Manage God's Money
The following guidelines, from my book Money, Possessions, and Eternity, are designed to help you exercise self-control in spending, become a better steward of God’s resources, and free funds to use for Kingdom purposes:
1. Examine every purchase in light of its ministry potential.
We must weigh the value of every item we buy against what the same money could have done if used another way—for instance, to feed the hungry or to evangelize the lost. I don’t say this to induce a guilt trip but to indicate the obvious—whenever money is used one way, it prevents it from being used another. None of us should impose our personal standards on others, nor on the standards of God. We should ask God to direct us when it comes to handling His money.
2. Pray before you spend.
When something’s a legitimate need, God will provide. How often do we take matters into our own hands and spend impulsively before asking God to furnish it for us? Often we either buy what we want or forgo what we want when there’s a third alternative: asking God to provide it for us. If He doesn’t provide it, fine—He knows best.
Setting a waiting period gives God the opportunity to provide what we want, to provide something better, or to show us that we don’t need it and how to use the money differently.
3. Realize that nothing is a good deal if you can’t afford it.
Paying $250,000 for a house that is worth $300,000 sounds like an excellent deal. Paying $80 for a pair of barely used skis that cost $400 new seems like a great deal. But if we can’t afford them, it simply doesn’t matter. It’s always a bad choice to spend money on a “good deal” we can’t afford.
4. Recognize that God isn’t behind every good deal.
Suppose we can afford it. Does that mean we should buy it? Self-control often means turning down good deals on things we really want because God may have better plans for His money.
5. Understand the difference between spending money and saving it.
Saving is setting aside money for a future purpose; it stays in our wallet or in the bank. It can be used for other purposes, including our needs or the needs of others. Money that’s spent leaves our hands and is no longer at our disposal. If we buy an $80 sweater on sale for $30, we’ve spent $30. If we think we’ve just saved $50, we simply don’t understand the concept of saving!
6. Look at the long-term cost, not just the short-term expense.
If something breaks, we pay to get it repaired. If we buy a new car, we fret about dents and buy insurance to fix them. Count the cost in advance. Everything ends up being more expensive than it first appears.
7. Understand and resist the manipulative nature of advertising.
Advertising is seductive and manipulative. It programs us. We must consciously reject its claims and counter them with God’s Word, which tells us what we really do and don’t need. We should withdraw ourselves from advertising that fosters greed or discontent. That may mean less television, less flipping through sales catalogs and newspaper ads, and less aimless wandering through shopping malls.
8. Learn to walk away from things you want but don’t need.
Once I received a large, unexpected check. After giving a portion to the Lord, I still had $2,000 left. Before long, I was out looking at something I’d wanted but had never been able to justify. The price tag read $1,995. But in my heart there wasn’t peace when I considered what that money could do for God’s Kingdom. Finally, I decided I shouldn’t make the purchase. When I turned and walked away, something unexpected happened. I was suddenly filled with a deep sense of relief and joy. To be free of it was the first blessing; to know the eternal difference that amount would make was the second blessing.
9. Realize that little things add up.
One dollar here and ten dollars over there; a hamburger here and mocha there; movie rentals and rounds of golf. These things may seem inconsequential, but they can add up to hundreds of dollars per month and thousands per year that could be used for Kingdom purposes. Until we fix some of our spending habits, we’ll never be able to divert the flow of money for higher purposes.
10. Set up a budget and live by it.
Two practical steps can greatly help us get a grip on our spending: recording expenditures and making a budget. These steps will help us detect problem areas by clarifying our spending habits. This will improve our mental and marital health because financial disorder is one of the leading causes of personal and familial stress.
Living on a budget will free up lots of money. When I was a pastor, I met with families who followed a budget and did fine on a very meager income. I met with others who made much more and were always in financial crisis.
It’s not how much money we make, but how we handle it that matters. And it all begins by recognizing the money we’re handling is not our own. It belongs to another, before whom we will one day stand, and from whom the best words we could ever hear are these: “Well done my good and faithful servant. Enter into your Master’s joy.”
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